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UBER sur la Riviera Maya

Si vous avez l’intention d’utiliser UBER comme moyen de transport, lisez ceci car en résumé, nous vous conseillons d’éviter absolument ce service.

D’abord le cas de l’aéroport de Cancun :

Sachez que Les autorités fédérales annoncent qu’Uber n’est pas autorisé à opérer à l’aéroport de Cancun alors si vous voulez toujours prendre ce service, voici de l’information :

La confusion a commencé après qu’un juge fédéral a accordé une injonction à Uber. Cependant, le nouveau communiqué de presse du gouvernement fédéral clarifie ce que cette décision signifie réellement, et c’est loin de ce que pensent la plupart des voyageurs.

Depuis toujours, le transport à Cancun était une chose simple mais frustrante: les navettes privées coûteuses ou le « Far West » des tarifs des taxis locaux. L’arrivée d’Uber (et d’autres applications de covoiturage) a été célébrée par les voyageurs comme la solution ultime – un moyen familier, bon marché et sûr de se déplacer.
La SICT explique que la décision du tribunal « n’implique pas l’autorisation de la fourniture de ces services ». La décision était très précise : elle a seulement ordonné à la Garde nationale de cesser de mener des opérations « arbitraires et discriminatoires » contre les chauffeurs d’Uber. Il n’a pas accordé à Uber le droit légal d’opérer dans une zone où ils n’ont pas d’autorisation fédérale et où des contrats existants sont en place.
Pourquoi vous ne devriez toujours pas essayer d’obtenir un Uber au bord du trottoir
Pour les voyageurs arrivant à Cancun, cette bataille juridique est principalement synonyme de bruit. Le véritable défi à l’aéroport n’a jamais été seulement la Garde nationale ; C’est le puissant syndicat des taxis de longue date.

L’aéroport de Cancún (ASUR) a des contrats exclusifs et contraignants avec les syndicats officiels de taxis, leur accordant le droit exclusif de prendre les passagers au bord des arrivées. La nouvelle décision de justice ne fait rien pour dissoudre ces contrats ni la puissante influence du syndicat.

Pour la sécurité et l’efficacité de votre voyage, nous déconseillons vivement à tous les voyageurs de sortir du terminal et d’essayer d’appeler un Uber.
• C’est stressant : Vous serez toujours obligé de jouer au jeu du chat et de la souris. Les chauffeurs ne viendront pas vous chercher sur le trottoir. Ils vous demanderont de traîner vos bagages sur le parking chaud, d’attendre près de l’autoroute ou de trouver un point de ramassage « secret » pour éviter une confrontation directe avec le syndicat des taxis.
• Il s’agit d’un problème de sécurité potentiel : les tensions entre les applications de covoiturage et les syndicats de taxis locaux sont extrêmement élevées. Cette nouvelle décision, et la confusion qu’elle a provoquée, ne risque que de rendre la situation plus volatile. Essayer de monter dans un Uber au milieu de la zone contrôlée par les taxis est une mauvaise idée qui peut conduire à une confrontation inconfortable, vous mettant en danger, vous et votre chauffeur.
• C’est inefficace : C’est une façon stressante et chaotique de commencer vos vacances, tout cela pour économiser quelques dollars.

Bien qu’Uber soit effectivement légal et opérationnel à Cancun (non pas à l’aéroport), l’utiliser ici n’est pas la même chose que de l’utiliser chez nous. La réalité sur le terrain est beaucoup plus compliquée, remplie de bizarreries locales et de quelques « pièges » surprenants que tout voyageur averti doit connaître.

Uber sur la Riviera :

à l’heure actuelle, le service Uber n’est pas fiable / pleinement opérationnel dans la zone de la Riviera Maya (Mexique), notamment à Playa del Carmen ou Tulum.
Pour Playa del Carmen et Tulum : l’application peut être ouverte, mais aucun chauffeur local ne répond ou la prise en charge ne se fait pas normalement.
Dans certains secteurs comme Cancún, Uber est davantage visible, mais cela ne garantit pas qu’il couvre toute la Riviera Maya ou que ce soit sécurisé.

Il est bon de savoir que :

La première surprise : la « zone grise » des assurances et des permis
C’est le problème le plus critique lors de votre trajet.
• L’assurance « entreprise » : Uber Mexique fournit une assurance responsabilité civile à l’échelle nationale pour chaque course. À partir du moment où votre chauffeur accepte la course jusqu’à ce que vous soyez déposé, vous êtes couvert par la politique d’entreprise d’Uber.
• Le problème des permis « locaux » : Le problème se situe au niveau de l’État. La loi sur la mobilité de Quintana Roo (l’État de Cancun) exige que tous les conducteurs de covoiturage aient un permis local spécifique, et souvent difficile à obtenir, pour opérer. En raison du conflit intense et continu avec les puissants syndicats de taxis, de nombreux chauffeurs peuvent ne pas avoir ce permis local spécifique.

Qu’est-ce que cela signifie pour vous ?

Dans un simple accrochage, vous êtes presque certainement couvert. Mais dans un incident plus grave ou plus complexe, l’absence de permis local peut créer un casse-tête juridique et d’assurance important dont vous ne voulez pas faire partie.
La deuxième surprise : l’arnaque du « remplissage » de la carte de crédit
Il s’agit d’une escroquerie qui a été de plus en plus signalée par les voyageurs en 2025, et elle cible spécifiquement ceux qui paient par carte de crédit via l’application.
Voici comment cela fonctionne : vous faites un trajet de 20 minutes du centre commercial jusqu’à votre complexe. Vous sortez, remerciez le chauffeur et vous vous dirigez vers la piscine. Une heure plus tard, vous recevez une notification indiquant que votre trajet de 20 minutes a coûté 60$. Le chauffeur a « oublié » de terminer le trajet lorsque vous êtes descendu et a continué à conduire, gonflant la facture avant de finalement marquer le voyage comme terminé.
Étant donné que le paiement est lié à votre carte de crédit, vous êtes débité automatiquement. Vous devez ensuite vous battre avec le service client d’Uber (souvent un chatbot) d’un pays étranger pour obtenir un remboursement, ce qui peut être un cauchemar.
La troisième surprise : et combien éprouvante
C’est la frustration la plus courante. Vous ne pouvez toujours pas obtenir un Uber à partir du principal trottoir des arrivées à l’aéroport de Cancun, ou être pris en charge dans le hall principal de la plupart des grandes stations. Les syndicats de taxis contrôlent toujours ces zones.
Vous devrez continuer à jouer au jeu du « chat et de la souris » car les autorités fédérales annoncent qu’Uber n’est pas autorisé à opérer à l’aéroport de Cancun

• À l’aéroport : Votre chauffeur vous enverra un message sur l’application et vous demandera de traîner vos bagages à travers le parking jusqu’à un « point de ramassage » près de l’autoroute ou à un autre terminal.

• 🚗 Le guide d’Uber : 3 conseils essentiels
• Utiliser Uber à Cancun n’est pas la même chose que chez soi. Appuyez sur chaque astuce ci-dessous pour savoir comment rester en sécurité et éviter les escroqueries les plus courantes.
• ✔️Astuce #1 : Vérifiez toujours la plaque
C’est très important, Avant d’ouvrir la porte de la voiture, vérifiez que la plaque d’immatriculation et le modèle de la voiture dans votre application correspondent à la voiture devant vous.
• 💵Astuce #2 : Passez au « paiement en espèces »

 

C’est une ruse commune au Mexique et soyez donc averti. Avant de commander une course, rendez-vous sur votre portefeuille Uber et changez votre mode de paiement pour ÈFECTIVO (espèces). Cela élimine l’arnaque fréquente car la transaction est terminée à la seconde où vous payez le chauffeur en pesos.
• 💳Astuce #3 : Si vous utilisez une carte de crédit…
Gardez votre application ouverte une fois sorti de la voiture. Regardez l’îcone du conducteur sur la carte et ne fermez pas l’application tant que vous n’avez pas confirmé que le trajet est officiellement terminé, vous éviterez alors le surfacturation.